Mon Fric
Des propos d'Elon Musk risquent de ne pas plaire à Mark Zuckerberg
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Des propos d'Elon Musk risquent de ne pas plaire à Mark Zuckerberg

Le patron de Twitter n'y est pas allé avec le dos de la cuillère

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Elon Musk vit passablement des mauvaises journées depuis le lancement avec succès de la plateforme Threads, qui rivalise avec Twitter, rapporte l'Agence France-Presse (AFP). Ainsi, le grand patron de Twitter menace maintenant d'attaquer Meta, maison mère de Threads, Facebook et Instagram, devant les tribunaux. 

Rappelons que la nouvelle plateforme de Meta a récolté plus de 30 millions d'abonnés en moins de 24 heures. 

« Wow, 30 millions de comptes créés. On dirait le début de quelque chose d'exceptionnel, mais nous avons encore beaucoup de travail devant nous pour bâtir l'application de conversations écrites » d'Instagram, a écrit sur sa nouvelle plateforme Mark Zuckerberg, PDG de la maison mère de Threads, Meta. 

Il avait même déjà piqué Elon Musk sur la question. « Cela prendra du temps, mais je pense qu'il devrait y avoir une appli de conversations avec au moins un milliard de gens dessus. Twitter a eu l'occasion de le faire, mais n'a pas réussi. Nous espérons y arriver », a-t-il lancé.

Toutefois, Elon Musk a décidé de contacter son avocat et d'envoyer une lettre à Meta, où il accuse l'entreprise rivale d'avoir profité de secrets industriels et d'avoir commis des infractions au droit de la propriété intellectuelle. 

Il accuse également Meta d'avoir embauché « des dizaines » d'anciens employés de Twitter et a décidé de mettre en demeure l'entreprise rivale, sans quoi il porterait l'affaire devant les tribunaux. 

« La concurrence n'est pas un problème. La tricherie en est un », a dénoncé Elon Musk sur Twitter.

De son côté, un porte-parole de Meta, Andy Stone, a affirmé sur Thread qu'« aucun membre de l'équipe d'ingénieurs de Threads n'est un ancien employé de Twitter ».

Rappelons qu'après avoir racheté Twitter, Elon Musk a décidé de faire payer pour la vérification d'un compte, en plus de procéder au licenciement de la majorité des équipes de modération des contenus. 

Samedi, il a également annoncé qu'il limiterait le nombre de messages qu'un compte peut consulter quotidiennement. Finalement, lundi, il a annoncé que le TweetDeck serait seulement disponible pour les comptes payants. 

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