En ce jour de vote, le président américain y est allé d'une déclaration troublante...
Donald Trump a lancé un message inattendu aux Canadiens pour les élections fédérales. En ce jour de vote, le président américain y est allé d'une déclaration troublante...
Alors que c'est ce soir que les Canadiens connaîtront l'identité de leur nouveau premier ministre, Donald Trump a cru bon de s'exprimer sur le sujet ce matin.
Il en a profité notamment pour ramener l'histoire du 51e État sur la table...
« Bonne chance au grand peuple du Canada. Élisez l'homme qui aura la force et la sagesse de réduire vos impôts de moitié, d'accroître votre puissance militaire, gratuitement, au plus haut niveau mondial, de quadrupler la taille de vos entreprises automobiles, sidérurgiques, aluminium, forestières, énergétiques et autres, SANS AUCUN DROIT DE DOUANE NI TAXE, si le Canada devient le 51e État chéri des États-Unis d'Amérique », a-t-il écrit.
« Finies les lignes artificielles tracées il y a de nombreuses années. Voyez comme ce territoire serait magnifique. Accès libre, SANS FRONTIÈRE. QUE DU POSITIF SANS AUCUN NÉGATIF. C'ÉTAIT CENSÉ ÊTRE AINSI ! L'Amérique ne peut plus subventionner le Canada avec les centaines de milliards de dollars par an que nous avons dépensés par le passé. Cela n'a aucun sens si le Canada n'est pas un État », a ajouté le président américain.
Rappelons que Donald Trump s'en était pris une nouvelle fois au Canada et à Justin Trudeau il y a quelques jours.
« J'ai demandé à Trudeau que j'appelle affectueusement le gouverneur Trudeau: "Pourquoi dépensons-nous 200 milliards de dollars pour soutenir le Canada, pour le subventionner ?" Il a été incapable de me répondre », avait affirmé le président américain lors d'un point de presse donné depuis le bureau ovale.
« Pourquoi faisons-nous ça ? Et je dois être honnête : en tant qu'État, cela fonctionne très bien en tant que nation, compte tenu du fait que la plupart des Canadiens, vous savez, 95 % d'entre eux, achètent et vendent chez nous (...) Nous n'avons pas besoin de leur pétrole, nous n'avons pas besoin de leur bois, nous n'avons pas besoin de leurs voitures, nous n'avons besoin de rien. Alors je me suis demandé : "Pourquoi faisons-nous ça ? Pourquoi dépensons-nous 200 milliards de dollars ?" Ça n'a aucun sens », avait ajouté le président américain.
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