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La Québécoise gagnante du gros lot qui aide les gens dans le besoin se confie sur son quotidien

« On nourrit quand même 500 personnes par jour »

Maxime Albors

La gagnante du gros lot qui aide les gens dans le besoin s'est confiée au Journal de Montréal sur son quotidien.

Rappelons que Rachel Lapierre est la fondatrice du Book humanitaire, un organisme, basé à Saint-Jérôme, qui est un « lien entre les gens de cœur et des gens dans le besoin ».

En 2008, sa vie a pris un tournant inattendu lorsqu'elle a remporté le gros lot. Elle gagne désormais 1000 $ par semaine à vie. « J’ai fait un pacte avec la vie. Quand j’ai acheté mon billet, je me suis dit que si je gagnais, je ferais ça jusqu’à la fin de mes jours. Je ne me voyais pas faire autre chose , avait-elle expliqué au JdM.

La Québécoise gagnante du gros lot qui aide les gens dans le besoin se confie sur son quotidien
Crédit photo: Capture d'écran photo Facebook

Son histoire a conquis les Québécois et le Journal de Montréal a voulu en savoir plus sur son quotidien avec son organisme qui compte 80 bénévoles. Le média montréalais a suivi Rachel Lapierre pendant une journée.

« C’est une journée tranquille parce qu’il n’y a pas de livraison, mais on nourrit quand même 500 personnes par jour », a-t-elle souligné.

Le Book humanitaire possède notamment un frigo collectif où les gens dans le besoin peuvent se servir. Ils y trouvent notamment du pain, des yogourts ou encore des sandwichs aux oeufs.

Des sacs de nourriture sont également donnés aux plus démunis.

« J'ai préparé un sac pour les personnes en situation d'itinérance. Il y a du jambon, avec des œufs, des patates, il y a des boulettes de bœuf, deux bonnes sandwiches aux œufs », a indiqué Carole Lévesque, une bénévole.

La Québécoise gagnante du gros lot qui aide les gens dans le besoin se confie sur son quotidien
Crédit photo: Capture d'écran photo Facebook

Le Journal de Montréal souligne que Rachel Lapierre, qui est toujours infirmière, a transformé un VR en clinique d’urgence mobile.

« Pour quelqu’un qui a un problème de santé mentale, attendre 30 ou 40 heures, c’est impensable », précise-t-elle.

Vous pouvez lire l'article complet du Journal de Montréal en cliquant ici.