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Le CELI, c'est quoi?
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Le CELI, c'est quoi?

La réponse ici

Gabriel St-Pierre

Comprendre le CELI, c'est un pas de plus vers l'enrichissement

Le CELI, où compte épargne libre d'impôt est un véritable paradis fiscal. Tout en étant flexibles pour les retraits, vos gains sont libres d'impôts!

Introduit en 2009 par le gouvernement canadien dans un effort d'encourager l'épargner des contribuables, notre beau Canada nous a offert un outil hyper intéressant pour tout adepte de l'investissement.

Son fonctionnement est simple.

Il s'agit d'un compte dans lequel le particulier peut déposer des sommes, jusqu'à la limite maximale permise selon son âge et l'année. Par exemple le maximum actuel est de 81 500$, pour ceux qui étaientt nés avant 1991 (18 ans en 2009). Cliquer ici pour trouver votre maximum

Par la suite, ce même individu peut choisir d'investir ses sommes exactement de la même façon que via un compte de placement non enregistré classique.

Si le cotisant le désire, il pourra retirer ses sommes en tout temps sans pénalité avec ajustement au droit de cotisation, contrairement au REER. 

Le pouvoir du CELI face aux anciennes méthodes d'investissement. 

Disons que vous avez 50 000$ à investir aujourd'hui sur une période de 10 ans à 8% de rendement et qu'ont vous offre un CELI et un N-E (non enregistré).

Le CELI 

Votre 50 000$ passera à 107 946$. Vous pourrez retirer la totalité de cette somme sans pénalité.

Le N-E 

Votre 50 000$ passera aussi à 107 946$, mais vous aurez un gain en capital à payer de .14 486$, ce qui vous laissera un net de 93 460$! (Le gain en capital peut varier selon votre revenu)

Le CELI est donc une corde à son arc qu'on ne peut pas négliger et qui devrait toujours être une option pour vos véhicules d'investissement.

 Cet article a été écrit en partenariat avec La Vérité sur vos finances, un groupe de conseiller en sécurité financière ayant comme objectif l'éducation financière des Québécois et d'aider ceux qui cherche à passer à l'action. Pour demander un appel avec eux, cliquer ici. 

Source: Gabriel St-Pierre