On en sait davantage sur la fermeture des entrepôts d’Amazon au Québec
C'est pire que ce qu'on pensait...
Alors que mercredi dernier on apprenait la fermeture des entrepôts d'Amazon au Québec, on en sait davantage dans ce dossier et c'est pire que ce qu'on pensait...
Rappelons que c'est Thomas Gerbet et David Savoie, de Radio-Canada, qui ont révélé que le géant américain allait quitter la province.
« Le géant Amazon va quitter le Québec, a appris Radio-Canada, de plusieurs sources. Sept sites vont fermer, dont les entrepôts à Laval et Montréal. Les livraisons de colis aux clients devront s'organiser autrement. Amazon a 1800 employés au QC », avait résumé Thomas Gerbet sur son compte X. Un chiffre qui a été revu à 1997 par la suite.
Une nouvelle qui a eu l'effet d'un tremblement de terre au Québec et qui nous a valu une réaction troublante de François Legault.
« 1. Le Canadien a encore gagné. 2. Je n'ai pas bu d'orange ce matin... Pas de jus d'orange », avait-il dit aux journalistes en continuant son chemin avec un grand sourire.
Thomas Gerbet a dévoilé de nouvelles informations sur la fermeture des entrepôts d’Amazon au Québec jeudi soir et finalement c'est pire que ce qu'on pensait...
En effet, ce ne sont pas 1997 travailleurs qui vont perdre leur emploi, mais près de 3500.
« La décision d’Amazon de fermer ses installations au Québec entraînera finalement au total près de 3500 pertes d’emplois », a tweeté le journaliste de Radio-Canada.
Dans son article publié sur le site web de Radio-Canada, Thomas Gerbet explique que le ministère du Travail et de la Solidarité sociale a reçu près de 1500 avis de licenciements supplémentaires.
Le journaliste précise que ce sont une douzaine d'entreprises qui sont touchées par la décision d'Amazon de fermer ses entrepôts au Québec.
Vous pouvez lire l'article en cliquant ici.
Les syndicats ont-ils eu une influence dans la décision d'Amazon ?
Barbara Agrait, porte-parole d'Amazon, semble botter en touche... « En ce qui concerne la question de savoir si cette décision est due aux efforts du syndicat, je réponds : Il s'agit d'offrir le meilleur service possible à nos employés », a-t-elle déclaré à ce sujet à Radio-Canada.
Rappelons que c'est l'entreprise Intelcom qui devrait prendre le relai au niveau de la livraison.
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