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Un moment de la rencontre entre Mark Carney et Donald Trump fait le tour du monde

Une phrase du premier ministre canadien a fait particulièrement jaser...

J. Martel

J. Martel


Le nouveau premier ministre du Canada, Mark Carney, ne s'est pas gêné à remettre Donald Trump à sa place...

La rencontre entre Mark Carney et Donald Trump était très attendue cette semaine et disons-le, le président américain semble mieux s'entendre avec le nouveau premier ministre du Canada qu'avec Justin Trudeau.

Alors que Trump insiste pour imposer des tarifs douaniers à de nombreux pays à travers le monde, le 47e président des États-Unis a encore signifié son désir que le Canada devienne le 51e État américain, mais cette solution a été rapidement exclue par Mark Carney, qui a déclaré que sa nation ne serait «jamais à vendre».

Tout en comparant le Canada au palais de Buckingham au Royaume-Uni ou au bureau ovale aux États-Unis, Mark Carney a expliqué: «Comme vous le savez dans le domaine de l'immobilier, il y a des endroits qui ne sont jamais à vendre. [...] Après avoir rencontré les propriétaires du Canada au cours de la campagne électorale ces derniers mois, je peux affirmer que ce n'est pas à vendre. Il ne le sera jamais.»

Mark Carney a expliqué un peu plus tard lors de la rencontre que les Canadiens sont «maîtres chez eux» et «peuvent se donner bien plus que ce que n’importe quel gouvernement étranger peut leur prendre».

Le président Trump a réagi aux propos de Mark Carney en déclarant qu' «Il ne faut jamais dire jamais», avant d'ajouter: «J'ai eu beaucoup, beaucoup de choses qui n'étaient pas faisables et qui ont fini par l'être.»

Toujours lors de cette même rencontre, Mark Carney s'est même permis de corriger les propos de Donald Trump. Après que ce dernier a déclaré que «Nous ne faisons pas beaucoup d'affaires avec le Canada», Mark Carney a précisé avec amusement: «Nous sommes le plus gros client des États-Unis, pour l’ensemble des biens.»

Le premier ministre du Canada a ensuite ajouté: «Nous avons un secteur automobile formidable à nous deux et les changements apportés ont été utiles. 50 % d'une voiture qui vient du Canada est américaine ; ce n'est pas comme partout ailleurs dans le monde.»

Selon l'experte en langage corporel Beth Dawson, le premier ministre canadien semblait «affirmé», mais aussi «soumis» et «inquiet» à son arrivée à la Maison-Blanche.

Enfin, l'experte a ajouté: «Le contact du coude montre cependant qu'il veut établir une connexion sur un pied d'égalité. Son expression est celle de la détermination. Carney n'est pas passif, mais il fait également attention à ne pas paraître trop autoritaire et il semble légèrement intimidé.»

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Source: Unilad
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