Parce que le fait de ne pas grelotter, ça n'a pas de prix !
Avec la facture d'électricité qui ne cesse d'augmenter et l'hiver qui approche, nombreux sont les gens qui se demandent comment économiser, sans toutefois devoir grelotter à la maison, faute de chauffage adéquat. La Presse a partagé ses astuces destinées à ce que votre électricité vous coûte moins cher, sans faire de compromis sur le confort.
Ainsi, la tarification dynamique d'Hydro-Québec peut permettre d'économiser quelques dollars. L'inscription à ce tarif est volontaire et se fait après avoir reçu un courriel de la part d'Hydro-Québec. Si vous ne l'avez pas encore eu, sachez que la société d'État le fera d'ici la mi-novembre.
Si vous recevez ce courriel, vous aurez donc l'option d'un « crédit hivernal », soit d'avoir droit à un rabais si vous réduisez votre consommation en période de pointe. Ces périodes seront indiquées par courriel et message taxe.
Les personnes choisies ont deux options. Celle baptisée « crédit hivernal » procure un rabais lorsqu’on réduit sa consommation d’électricité pendant les périodes de pointe. Celles-ci sont annoncées la veille, par courriel ou texto. Avec cette formule, aucun risque de payer plus cher que d’habitude.
L'autre option s'appelle le « tarif Flex » et permet aux abonnés d'avoir droit à un tarif réduit durant toute la saison froide. Toutefois, lorsque la consommation d'électricité est forte, le tarif grimpe de 50 sous le kilowattheure.
Ainsi, pour économiser, il faudra diminuer votre consommation à l'heure du petit déjeuner et du souper, car c'est là où la demande est la plus forte sur le réseau. Hydro-Québec suggère également de surchauffer votre résidence AVANT une période de pointe, pour par la suite diminuer la température de quelques degrés.
La chroniqueuse Marie-Ève Fournier rapporte également que de nombreux lecteurs lui ont envoyé leurs trucs.
« L’an passé, j’ai effacé, selon le langage d’Hydro, 585 kWh, ce qui représente une économie de 292 $ sur une facture totale annuelle de 1941 $. Une économie, donc, de 15 % », a fait savoir Gilles Bouthillier à la chroniqueuse de La Presse. L'homme qui vit à Bromont éteint l'échangeur d'air et n'utilise pas le four. Il ferme aussi le disjoncteur du réservoir d'eau chaude.
Un autre client, Mathieu Primeau, a carrément décidé de ne plus chauffer sa maison durant les périodes de pointe. « Nous n’augmentons que de 1 °C le reste de la journée. Même les jours les plus froids, nous n’avons jamais souffert du froid dans la maison, qui perdait 2 ou 3 °C maximum, souvent moins », a-t-il écrit, ajoutant que cela lui avait permis d'économiser 401,19 $ sur une année.
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