Mon Fric
Voici quoi faire avec les aliments dans votre réfrigérateur en cas de panne d'électricité
Adobe stock  

Voici quoi faire avec les aliments dans votre réfrigérateur en cas de panne d'électricité

Tout n'est pas bon à jeter...

Mon Fric

Mon Fric

Alors que des centaines de milliers de personnes sont dans le noir depuis mercredi soir, plusieurs ont le réfrigérateur et le congélateur remplis. Mais que faire lorsqu'une panne dure durant plusieurs jours ? Le Devoir s'est posé la question. 

Mieux vaut d'abord éviter d'ouvrir et fermer la porte des appareils électroménagers. Ainsi, les aliments se conservent plus longtemps s'il y a moins d'entrées d'air.

Le gouvernement du Québec vous recommande d'utiliser un thermomètre pour vérifier si la température du réfrigérateur se situe encore entre 0 et 4 degrés. À cette température, la nourriture devrait rester froide pour une durée de 4 à 6 heures.

Et plus un réfrigérateur est plein, plus les aliments restent froids plus longtemps. 

Mais au-delà de six heures sans courant, comme c'est le cas pour de nombreux Québécois, il vaut mieux trier le contenu du réfrigérateur, estime le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ).

Voici d'ailleurs un tableau publié sur le site web du ministère pour vous aider à y voir plus clair. 

Voici quoi faire avec les aliments dans votre réfrigérateur en cas de panne d'électricité
Photo : Capture d'écran - Site web - MAPAQ

Les aliments au congélateur

Un congélateur rempli peut avoir un délai de conservation jusqu'à 48 heures. Ce délai diminue à 24 heures pour un congélateur à moitié rempli.

Comme pour le réfrigérateur, mieux vaut éviter d'en ouvrir la porte le plus possible. 

Une fois l'électricité revenue, vous pourrez procéder au tri. Ainsi, les produits qui sont en partie décongelés peuvent être congelés à nouveau si leur centre est encore dur. 

Les aliments décongelés dont la température est plus basse que 4 degrés peuvent être cuits et ensuite recongelés une fois cuits. 

Articles recommandés:

Source: Le Devoir