Mon Fric
Faites attention au petit verre de vin que vous buvez en télétravail
Adobe Stock

Faites attention au petit verre de vin que vous buvez en télétravail

Tous les détails à l'intérieur.

Mon Fric

Mon Fric

Les confinements et la généralisation du télétravail durant la pandémie a fait en sorte que plusieurs ont décidé de terminer une dure journée à domicile par un petit verre de vin pour décompresser. La modération a bien meilleur goût, oui, mais cette habitude n'est pas sans danger, rapporte Hugo Bastien dans Urbania. 

S'il est vrai qu'une consommation d'alcool de temps en temps n'a rien de grave, le fait de prendre l'habitude d'avoir sa consommation quotidienne peut être plus difficile à arrêter qu'il n'y paraît. « Il met votre pied sur une pente qui peut devenir glissante rapidement », prévient le journaliste. 

Comme le cerveau en vient à associer la fin de la journée avec le petit verre pour décompresser, le corps tolère de plus en plus l'alcool... ce qui peut en amener certains à augmenter la dose. Ainsi, ce ne sera plus un seul verre de vin après 17h, mais bien deux, trois, quatre. 

Faites attention au petit verre de vin que vous buvez en télétravail
Photo : Adobe Stock

Le fait d'augmenter sa consommation pour ressentir les mêmes effets relaxants peut en effet avoir des conséquences perverses sur la santé, comme une mauvaise qualité du sommeil, une prise de poids, une irritation du problème digestif, et une hausse de l'anxiété. « Si l’habitude est déjà bien installée, il arrive qu’on augmente la dose justement pour engourdir les effets négatifs de l’abus, ou du sevrage. Dans tous les cas, le cercle vicieux continue de se nourrir », ajoute Hugo Bastien. 

L'alcool peut également avoir un effet sur votre performance au travail. Ainsi, consommer alors que vous n'avez pas terminé votre boulot de la journée peut rapidement devenir hors de contrôle. 

Morale de cette histoire : il n'y a rien de mal à prendre un verre de temps en temps. Mais restez vigilant quant à votre consommation !

Lisez l'article complet d'Hugo Bastien en cliquant ici. 

Source: Urbania